De la dynamique des larmes au cinéma : Sirk, Kieslowski, Bergman /
"Selon Jean-Louis Leutrat, 'les larmes sont un sujet éminemment cinématographique'. Connues pour leur faculté de purification, d'échange et d'union, les larmes permettent aux personnages de communiquer leurs désirs d'être accueillis les uns dans les autres. Mais de même...
| Κύριος συγγραφέας: | |
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| Μορφή: | Βιβλίο |
| Γλώσσα: | French |
| Έκδοση: |
Paris :
Harmattan,
2023.
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| Σειρά: | Champs visuels
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| Θέματα: |
Πίνακας περιεχομένων:
- Introduction : Le cinéma lacrymal entre séparations et transferts
- Les larmes au cinéma ou le paradoxe du visage moderne
- Sirk, Kieslowski, Bergman : les larmes comme élément fondamental du cinéma
- Un combat éternel contre une impossibilité fatale ?
- Pt. 1. Transfert des larmes
- 1. De la répression des larmes
- Les larmes en pluie des amoureux : Demain est un autre jour
- Les larmes bleues de Julie dans Trois couleurs : Bleu
- Sonate d'automne ou l'étouffement des larmes : le langage comme substitut chez Bergman
- 2. Larmes d'outre- tombe
- Les larmes d'outre-tombe d'Ernst Graeber : Le temps d'aimer et le temps de mourir
- Des larmes-tombeau dans Le Décalogue !
- Les larmes du fantôme, ou de la "fantomalité" des larmes chez Bergman : Fanny et Alexandre
- 3. De la stérilité des larmes
- Les larmes (stériles) de Kyle Hadley : Écrit sur du vent
- Les larmes d'infertilité de Romek : Le Décalogue IX
- De la stérilisation des larmes... Karin dans Cris et chuchotements
- Pt. 2. De la projection des larmes à la transformation
- 4. Des personnages transfigurés par les larmes
- Les larmes sincères de Lora Meredith ou la transfiguration de la joueuse dans Le mirage de la vie
- Les larmes de l'absolution de Julie dans Trois couleurs : Bleu
- De l'effondrement du corps fictif par les larmes, le cas d'Helena Ekdah
- 5. Les larmes : un fluide pour le meilleur et pour le pire
- L'écoulement excessif des larmes dans l'espace du moribond : les larmes comme agents transformateurs chez Kieslowski
- Emilie Ekdahl ou les larmes du retour : Fanny et Alexandre
- 6. D'un être(-)au(-)monde lacrymal
- De la conversion de l'imitation en image dans Le mirage de la vie
- De la désintégration d'un monde enfermant par les larmes : De la vie des marionnettes
- 7. Les larmes clefs du monde clos
- De l'ouverture du monde par les larmes dans Trois couleurs : Bleu
- Les larmes de l'ombre
- l'ouverture du réel à l'imaginaire (et vice versa) dans L'heure du loup
- 8. De la propagation des larmes au renversement du monde
- Tout ce que le ciel permet ou le renversement du monde interdit par les Larmes
- La transformation du réel en fantasmatique par les larmes chez Kieslowski : Brève histoire d'amour
- D'un monde à un semblant de monde : le monde devenu fantôme par l'écoulement des larmes chez Bergman (Persona)
- Pt. 3. De la transfiguration ontologique par les larmes
- 9. Transformer les "matières" du monde filmique
- Le Décalogue I : l'écoulement des larmes ou la fonte du monde Filmique
- Les larmes d'Une Passion ou la dissolution des images filmiques
- 10. De la conversion perpétuelle du monde
- Le temps d'aimer et le temps de mourir ou la conversion cosmique
- Les larmes filmiques de Trois Couleurs : Bleu, ou la transmutation continue de l'être filmique
- Les larmes de Persona
- 11. Larmes éternelles des cinéastes
- Le mirage de la vie ou les larmes de conversion "éternellement"
- Trois couleurs : Rouge, les larmes éternelles de l'entre-deux monde(s)
- Les larmes éternelles du cinéaste sur le visage de l'ex-persona : Sarabande.
