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oapen-20.500.12657-245422021-11-09T09:28:17Z Femmes exilées politiques Morelli, Anne Piette, Valérie Gubin, Éliane Aviles, Juan Fernández Asperilla, Ana Gabrielli, Patrizia Gubin, Éliane Khoojinian, Mazyar Lesselier, Claudie Marques-Pereira, Bérengère Molina Mármol, Maïté Morelli, Anne Roland, Hubert Taraud, Christelle Tikhonov, Natalia Zavala San Martín, Ximena Gender bic Book Industry Communication::H Humanities::HB History::HBG General & world history L’image qui s’impose quand on évoque l’exil politique est le plus souvent masculine : ce serait principalement une affaire d’hommes. Tout au plus quelques femmes apparaissent à titre d’exception, mais la grande majorité d’entre elles sont présentées comme des « réfugiées » ou des « suiveuses », c’est-à-dire comme des victimes plutôt que des actrices de leur destin. Les femmes n’ont-elles donc jamais dû fuir à cause de leurs convictions, parce que persécutées ou risquant leur vie et leur liberté ? Cet ouvrage présente onze contributions qui, toutes, soulignent l’urgence d’exhumer l’histoire des exilées politiques et l’intérêt de l’étudier dans une dimension de genre. Il montre combien cette approche permet de revisiter le processus de l’exil politique. 2019-11-05 10:28:11 2020-04-01T09:59:54Z 2020-04-01T09:59:54Z 2009 book 1005569 OCN: 1135849425 http://library.oapen.org/handle/20.500.12657/24542 fre Sextant application/pdf n/a 9782800414405.pdf Editions de l'Université de Bruxelles ad75175c-dd6f-4705-bafd-62a0395e57dd 26 176 Bruxelles open access
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L’image qui s’impose quand on évoque l’exil politique est le plus souvent masculine : ce serait principalement une affaire d’hommes. Tout au plus quelques femmes apparaissent à titre d’exception, mais la grande majorité d’entre elles sont présentées comme des « réfugiées » ou des « suiveuses », c’est-à-dire comme des victimes plutôt que des actrices de leur destin. Les femmes n’ont-elles donc jamais dû fuir à cause de leurs convictions, parce que persécutées ou risquant leur vie et leur liberté ? Cet ouvrage présente onze contributions qui, toutes, soulignent l’urgence d’exhumer l’histoire des exilées politiques et l’intérêt de l’étudier dans une dimension de genre. Il montre combien cette approche permet de revisiter le processus de l’exil politique.
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